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Les productions Kinesis
« Contempler est ici est une expérience, enfouie lointainement dans nos mémoires, et avec laquelle on nous invite à renouer : observer, s'absorber, écouter, être aux aguets, retenir son souffle. Une expérience active devant un film d'action. » — 24 images (avril 2024)
« Le plan aérien qui ouvre Festin boréal […] est d'une picturalité époustouflante. Un plan qui annonce les couleurs d'un film où le travail soigné de la mise en scène se met au service d'un monde dont la contemplation nous happe [...] La fuite [de l'orignal] [...] a le souffle épique d'une scène de western.» — 24 images (avril 2024)
« Fable grinçante sur la gloutonnerie. Exercice minimaliste fascinant, mais redondant et longuet. Humour ironique propre à l'auteur. » — Mediafilm (Louis-Paul Rioux)
« Dans cette proposition inusitée et radicale, Robert Morin se réfugie dans la forêt, un royaume où s'observe avec contemplation et fascination tout un écosystème sauvage et hiérarchisé. » — Cinéma Moderne / FNC (dossier de presse)
« C'est un film sur la prédation humaine. Je voulais montrer comment on est seulement des prédateurs et qu'on n'est pas insérés dans la nature. On agresse la nature tout le temps et on est la seule espèce pour qui la seule utilité de la mort est intellectuelle. » — Robert Morin (en entrevue au Journal de Montréal)
« [Le film] nous renvoie à notre relation avec la nature et à notre complexe de supériorité par rapport à elle... Dans la forêt, la mort est utile. Elle n'est pas une chose terrifiante comme chez l'être humain. » — Robert Morin (en entrevue au Journal de Montréal)
« [Le cinéma] enregistre des métamorphoses... Le cinéma est un art de la décrépitude et de la métamorphose visuelle. C'est pour ça que je crois que mes deux premiers vrais films sont 7 paysages et Festin boréal. » — Ralph Elawani (Écrivain, journaliste et éditeur, cité par Tënk)
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