Palmarès et Récompenses
Variety Piazza Grande Award et le Prix du public au Festival du Film de Locarno 2011 (édition n°64)
Prix spécial du Jury au Festival International du Film Francophone de Namur 2011 (édition n°26)
À Montréal, une enseignante du primaire meurt subitement. Apprenant la nouvelle dans le journal, Bachir Lazhar (Fellag), un Algérien de 55 ans, frappe à la porte de l’école pour offrir ses services à titre de remplaçant. Rapidement embauché pour combler le vide laissé par la disparue, l’immigrant fait son entrée sur le marché du travail québécois dans un établissement en situation de crise alors qu’il nage lui-même en pleine tragédie personnelle.
Dès son arrivée, le fossé culturel entre Bachir et sa classe se dessine, alors qu’il propose aux enfants une dictée hors de leur portée, tirée d’Honoré de Balzac. Peu à peu, Bachir apprend à mieux connaître un groupe d'écoliers aussi ébranlés qu’attachants. Parmi ceux-ci, Alice et Simon, deux élèves charismatiques témoins d'un incident tabou, se révèlent particulièrement atteints par le décès de leur professeur. Pendant que la classe amorce un processus de guérison, personne à l'école ne soupçonne le passé douloureux de Bachir qui risque l'expulsion du pays à tout moment.
Microscope
Philippe Falardeau
Emmanuel Fréchette
Ronald Plante
Stéphane Lafleur
Martin Léon
Pierre Bertrand, Mathieu Beaudin, Sylvain Bellemare et Bernard Gariépy Strobl
Variety Piazza Grande Award et le Prix du public au Festival du Film de Locarno 2011 (édition n°64)
Prix spécial du Jury au Festival International du Film Francophone de Namur 2011 (édition n°26)
"Toute en délicatesse et en finesse psychologique, ce film de Philippe Falardeau (...) avance en douceur, teinté par une belle palette de sentiments, jouant sur des touches d'émotion et d'humour léger, sans forcer le trait." Jean-Claude Raspiengeas, La Croix
"Là où un autre donnerait l'impression de vouloir dire trop de choses en même temps, Philippe Falardeau trouve l'équilibre nécessaire pour faire de ce film une oeuvre généreuse et réflexive." Carole Milleliri, Critikat.com
"Aucun pathos, une belle simplicité pour conjuguer au présent des chagrins éloignés, et apprendre ainsi à apprivoiser la mort, à l'école, dès l'école." Danièle Heymann, Marianne
Ajouter votre avis