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Quiconque meurt, meurt à douleur

1998 - 1h30

L'histoire

Un caméraman de téléjournal sur les talons, des policiers font une descente dans une piquerie. Mais les choses tournent mal : les junkies sont armés. Dans la débandade, le caméraman et deux policiers sont pris en otage. La maison est encerclée. Durant les trente-six heures de la durée du siège, et jusqu’à épuisement de leur stock, les assiégés forceront le caméraman à enregistrer leur version de l’existence.

Acteurs

Les rôles des toxicomanes sont tenus par des ex-toxicomanes qui ont également coscénarisé le film

Technique
  • Scénario
    Robert Morin (avec la collaboration des acteurs/coscénaristes)
  • Distribution des rôles
    Composée d'ex-toxicomanes qui jouent un rôle inspiré de leur vie
  • Direction artistique
    André-Line Beauparlant
  • Direction photo
    Jean-Pierre St-Louis
  • Montage
    Lorraine Dufour
  • Musique
    Guy Leblanc
  • Conception sonore
    Marcel Chouinard, Louis Dupire
  • Ingénieur du son
    Marcel Chouinard, Louis Dupire
  • Costumes
    Sophie Lefèbvre
Crédits Images

Coop Vidéo

La presse en parle

« [Le film] révèle également l'une des factures visuelles les plus brutes de la filmographie du réalisateur québécois, mais aussi l'une des plus effectives. »

Source : Panorama-Cinéma (Critique Quiconque meurt, meurt à douleur)

« J'avais envie de dire des choses, mais en divertissant et non pas en avertissant. » (Citation de Robert Morin)

Source : Érudit (Un malaise salutaire : arpenter la frontière entre la fiction et le réel)

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